Grosse journée de travail. Pas moins de trois sujets dans la journée. Epuisant mais bon pour le moral.
A peine arrivé à la rédaction, déjà reparti. Pas le temps pour l'institutionnel café préalable à toute activité. Tout fout le camp.
Direction le 3è RSMA (Régiment du Service Militaire Adapté) de Guyane. Ca fleure bon la poudre et les "Chef oui Chef!".
Je n'y partagerai même pas un entraînement de bizuth, c'eût été trop beau
L'armée a gracieusement prêté un hangar au très cossu Rotary Club, qui a organisé une collecte pour les sinistrés d'Haïti.
Belle initiative, mais on oublie pas pour autant de se faire de l'auto-promotion. C'est si bon.
Le coeur sur la main et la main sur les cartes de visite.
Présence du consul d'Haïti en Guyane, qui semble un peu dépassé par l'aspect publicité.
En partant, j'ai eu droit au salut militaire des forces en présence. Je me suis même surpris à leur répondre du "Rompez!"... L'avenir brillant des forces de dissuasion de notre pays.
Mais, mieux que le prestige de l'uniforme (quoique les petits shorts kaki...), celui de l'appareil photo et du bloc notes.
Cet après-midi, rendez-vous à L'Université Antilles Guyane, pour le 'Forum Post Bac'. Ca rappellera des souvenirs à tous les angoissés de l'orientation estudiantine. Ambiance plus détendue qu'à la porte de Champerret (revival Salon de l'étudiant & co), et kyrielle de propositions pour tout plein de métiers, apparemment tous plus d' "avenir" les uns que les autres.
Ici, on promet des stages et des débouchés, et on parle "embauche facile".
Alors, ras-le-bol de s'entendre ressasser la crise? Venez donc vous installer en Guyane! Et ne posez pas de question sur le chômage qui ici dépasse allègrement les 20%.
Allez savoir.
Dernier sujet de la journée, au siège du syndicat UNSA des enseignants.
Prévu à 17h30, je trouve les portes closes.
Coup de fil, coup de pression, on m'apprend que non, finalement les profs débattent toujours pour savoir comment changer l'Ecole, et ne se pointeront pas.
Putain d'absentéisme scolaire.
Si ils veulent que je donne un écho à leurs revendications dans un papier demain, j'attends un mot des parents.
A peine arrivé à la rédaction, déjà reparti. Pas le temps pour l'institutionnel café préalable à toute activité. Tout fout le camp.
Direction le 3è RSMA (Régiment du Service Militaire Adapté) de Guyane. Ca fleure bon la poudre et les "Chef oui Chef!".
Je n'y partagerai même pas un entraînement de bizuth, c'eût été trop beau
L'armée a gracieusement prêté un hangar au très cossu Rotary Club, qui a organisé une collecte pour les sinistrés d'Haïti.
Belle initiative, mais on oublie pas pour autant de se faire de l'auto-promotion. C'est si bon.
Le coeur sur la main et la main sur les cartes de visite.
Présence du consul d'Haïti en Guyane, qui semble un peu dépassé par l'aspect publicité.
En partant, j'ai eu droit au salut militaire des forces en présence. Je me suis même surpris à leur répondre du "Rompez!"... L'avenir brillant des forces de dissuasion de notre pays.
Mais, mieux que le prestige de l'uniforme (quoique les petits shorts kaki...), celui de l'appareil photo et du bloc notes.
Cet après-midi, rendez-vous à L'Université Antilles Guyane, pour le 'Forum Post Bac'. Ca rappellera des souvenirs à tous les angoissés de l'orientation estudiantine. Ambiance plus détendue qu'à la porte de Champerret (revival Salon de l'étudiant & co), et kyrielle de propositions pour tout plein de métiers, apparemment tous plus d' "avenir" les uns que les autres.
Ici, on promet des stages et des débouchés, et on parle "embauche facile".
Alors, ras-le-bol de s'entendre ressasser la crise? Venez donc vous installer en Guyane! Et ne posez pas de question sur le chômage qui ici dépasse allègrement les 20%.
Allez savoir.
Dernier sujet de la journée, au siège du syndicat UNSA des enseignants.
Prévu à 17h30, je trouve les portes closes.
Coup de fil, coup de pression, on m'apprend que non, finalement les profs débattent toujours pour savoir comment changer l'Ecole, et ne se pointeront pas.
Putain d'absentéisme scolaire.
Si ils veulent que je donne un écho à leurs revendications dans un papier demain, j'attends un mot des parents.
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