Les conditions de travail sont difficiles, les évidences incohérentes, les portes jamais assez ouvertes.
Tout se décide la nuit prochaine. Un avion, le premier depuis un mois et demie arrive d'Ethiopie à 3h du matin. Pas d'autorisation officielle, une hostilité évidente pour 'raisons techniques' à notre présence. Mais on ira.
Retour en France demain soir, avec on l'espère, des idées plus claires et un recul nécessaire.
B/